Jean-Claude Capelli, "Celui du Pays de l'Ours", druide Dervarz : déshérence

Chères Sœurs, Chers Frères, Chères Amies, Chers Amis,
Je tiens à rappeler à mes détracteurs, et notamment à Dervarz — un nom qu'il réservait, paraît-il, aux personnes de confiance et qu'il estimait — qu'ils me font bien trop d'honneur en me présentant comme le principal initiateur de la Charte.
Je le démens formellement : en voyant les photos du Rassemblement Celto-Druidique, il est évident que cette œuvre n'est pas celle d'un individu, mais bien le fruit du travail collectif de plusieurs groupes druidiques dignes et engagés.
Concernant ma publication sur Mona Braz et sur l'usurpation du titre d'historien, il ne s'agissait nullement d'une attaque, mais d'un constat personnel. J'ai parlé en mon nom propre, et ma parole n'engage pas l'ensemble des signataires de la Charte.
Je sais que certains rêvent d'un pouvoir qui, en réalité, n'existe pas — car ce que vous appelez "pouvoir" n'est qu'une charge, et nous n'avons pas de chefs, mais des représentants respectueux, sérieux et humbles, vertus dont vous semblez dépourvus.
Notre fraternité ne repose pas sur des alliances de circonstance — "l'ennemi de mon ennemi est mon ami" — mais sur des liens sincères, nés du désir commun de servir une cause partagée.
Par ailleurs, je rappelle que les personnes non signataires et non druides n'ont pas à parler au nom des signataires de la Charte des Druides .
Enfin, parce que nous ne sommes pas des inquisiteurs, nous ne réduisons pas nos membres au silence, contrairement à d'autres qui ont trop souvent recours à la manipulation psychologique ou au chantage affectif.
À bon entendeur,
/I\
Gwengarv (Uindocaruos)
P.S. : Pour les féministes 2.0 qui n'ont jamais réellement œuvré pour la cause des femmes, mais qui brandissent le féminisme uniquement quand cela les arrange : constater une usurpation du titre d'historien, ce n'est pas un féminicide, mais une malhonnêteté intellectuelle.
Et qu'on soit clair : si cela avait été un homme, je l'aurais dénoncé de la même manière.
J'ai bien plus souvent pris position contre des hommes malhonnêtes, manipulateurs, parfois violents, ou encore usant de leur titre de Druide pour séduire des femmes en situation de fragilité psychologique ou émotionnelle — sans jamais vous entendre protester.
Pire encore, vous les avez parfois défendus… ou même partagés leur lit.

